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L’UISM appelle Les Nations Unies au respect de la diversité religieuse, et des valeurs islamiques dans les accords internationaux spécialement concernant la femme, l’enfant et d’autres.

 

L’UISM appelle Les Nations Unies au respect de la diversité religieuse, et des valeurs islamiques dans les accords internationaux spécialement concernant la femme, l’enfant et d’autres.

 

Et exige des pays islamistes une position unifiée envers ces documents, respectant la référence religieuse et culturelle pour les peuples du monde islamique.

Louange à Allah, la paix et les bénédictions soient sur le Messager d'Allah, sa famille et ses compagnons et ses alliés

 

L’UISM- représentant la population des savants de la nation islamique- continue la situation de la femme au monde d’une façon générale, et dans le monde islamique d’une façon particulière.

 

Il accentue l’honorisation de l’Islam de la femme et son égalité avec son confère l’homme dans la dignité humaine et la meilleure balance entre l’homme et la femme serait la piété (Le plus généreux chez Dieu est le plus mystique)

 

L’Islam était le premier depuis l’aube, a appelé une attention particulière aux droits de la femme, dans le contexte de l’intégration et de l’équilibre et la répartition des rôles, pour réaliser la prospérité, le bonheur et l’harmonie au sein de la famille, qui est considérée en tant que le noyau d’une société heureuse. Comme il souligne également l’intégration et la différenciation entre l’homme et la femme dans les taches au sein de la famille et de la société, ce qui permettra d’atteindre l’avancement et le progrès de la nation dans tous ses segments.

 

Estime que la réalisation de la justice, et l’octroi des droits naturels de la femme est une vraie addition à la communauté, qui se compose de deux éléments principaux (mâle et femelle). L’Islam en a été le pionnier de très loin, et en a mentionné dans un grand nombre de lois et règlements, et en a été supporté par l’instigation de retenue religieuse et morale dans la collectivité, transportant ces pratiques de la limite des théories à une réalité d’application, et de la section de littérature à la législation, et du point de vue de vertus à l’obligation de droits.

 

L’Union a bien remarqué, depuis quelques temps, que ces conventions nationales qui se tenaient pour la revendication des droits de la femme et sa liberté, vont souvent à mener au démantèlement de la famille, et l’endommager, n’en est pas intéressé de la divergence religieuse, culturelle et morale des différents nations et des peuples, et que les gestionnaires de ces conférences exercent des pressions économiques et politiques sur certains gouvernements islamiques pour y signer et s’engager à la mise en œuvre complète d’entre eux, malgré son interdiction a son implication avec la doctrine de son peuple, de ses valeurs et son Charia’a islamique immense.

 

Lors de la réunion (59) de la Commission de la condition de la femme qui se tiendra à l'Organisation des Nations Unies à New York dans la période de 9 au 20 Mars, se présentera une déclaration politique, qui détient encore plus de pressions et d’engagements plus contraignants à l’application totale de la CIDAW et de la convention de Beijing, et de tous ce qui en suit comme documents et annonces politiques qui lui affirment.

Nous, à l’UISM, voyons de dangereux dans cette déclaration politique serait :

 

1-L’insistance répétitive de l’application complète de la convention de Beijing, et les résultats de la 23ème session spéciale de l’assemblée générale (Beijing +5), et les publications du comité de la situation de la femme dans les 10ème, et 15ème célébrations annuelles de la convention Beijing (Beijing +10 et Beijing +15), sachant qu’il n’y a pas eu de réponse envers les réservations des gouvernements musulmans par rapport à l’accord CIDAW, ou la convention de Beijing, et ce qui en suivait, malgré la contradiction de la plupart de son contenu une contradiction directe de la Charia ‘a musulmane.

 

2-L’insistance sur l’interdépendance et la corrélation entre la Déclaration de Beijing et du programme d’action pour l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CIDAW), et ce que chacun d’entre eux « se renforcent mutuellement », et ceci jusqu’à ce que gagne la convention de Beijing une obligation en reliant à la CIDAW, et ce qu’elle contient de détails dangereuses sur le système de valeurs et d’éthiques dans les sociétés Islamiques

 

3-Déclaration politique axée sur l’introduction de l’expression « Egalite de sexes- Gender equality », dans le programme de développement au-delà de l’an 2015 en intégrant la perspective du Genre- Gender Perspective, en s’assurant que le sommet de Nations Unies, à adopter l’ordre du jour au-delà de 2015 qui aura lieu durant la période du 25 au 27 septembre 2015, participera d’une façon énorme à la réalisation de l’Egalite des Genres.

(Définition de l’identité de genres que : le sentiment de l’être en soi-même en tant que mâle ou femelle d’après l’encyclopédie Britannique, et l’Association des psychologues américains.

 

4-Mettre en place l’Egalite de genres- contrairement à l’adoption des droits des homosexuels- cela veut dire l’annulation de toutes différences législatives entre mâle et femelle, telles que les législations spéciales du mariage, le divorce, l’héritage et la tutelle, l’état et d’autres lois, ce qui serait une menace pour la désintégration de la famille et de l’effondrement, en raison de la pénétration du conflit entre elle.

 

5-La répétition de la phrase « la réalisation des droits fondamentaux des femmes et des filles totalement » ce qui signifie l’obligation de mettre en œuvre d’une façon absolue toutes les conventions des Nations Unies portant sur la femme et l’enfant, malgré la contenance des arguments entrant en contradiction et d’une façon spectaculaire avec la loi Islamique, comme la permission des relations sexuelles en dehors du mariage a un certain âge où les Nations Unies considèrent le mariage légitime en tant qu’une « violence contre la jeune fille », et s’emploie à le criminaliser.

Sans oublier le mépris total poursuivi par les Nations Unies à l’égard des filles qui sont victimes d’assassinat, de torture, de déplacement et de viol dans de nombreux pays, comme la Palestine, l’Irak, la Syrie, l’Egypte, la Birmanie et d’autres régions où les filles ont été privées des droits humaines les plus fondamentaux à savoir le droit de vivre.

 

6-La tentative d’intégrer des conférences locales et régionales tenues au cours de 2014 au niveau mondiale pour pouvoir poursuivre l’application de la convention de Beijing et ce qui lui a suivi de documents, à travers « les activités d’exécutions menées par les gouvernements et les organisations de la société civile à l’occasion du vingtième anniversaire de la Conférence de Beijing. Ceci est en fait une tentative de surmonter les réserves à l’égard de la convention de Beijing et les documents ultérieures, ces différents issues proviennent de plusieurs cultures, et n’a pas acquis un consensus international car ils contiennent des éléments intéressants de discorde et de controverse.

 

7-Le plus dangereux de tout ceci, ce qu’a été mentionné dans le dernier élément de la déclaration politique d’une intention de prendre des mesures historiques, pour entamer des progrès irréversibles sur l’égalité des sexes- Gender equality- et l’intimidation des femmes et d’autres réclamations qu’il considère comme droit à la femme et à la fille.

 

Comme nous voyons qu’autant de celui-ci est en fait un véritable gaspillage des droits des femmes et des filles et non le contraire. Cet article prédit de l’intention des Nations Unies d’exercer une pression de plus en plus violente sur les gouvernements, afin d’assurer la réalisation de son ordre de jour, et de bloquer toute opposition et d’une façon définitive.

 

Une résistance évidente peut se remarquer pour la plupart des peuples envers le contenu de ces engagements, la preuve en est admise par la Déclaration politique elle-même, malgré le passage de vingt ans depuis la quatrième conférence mondiale sur les femmes, cependant l’égalité n’a pas été réalisée dans de nombreux pays, ce qui indique son opposition et sa collision avec la nature humaine, mais les Nations Unies insistent sur l’ignorance de la volonté des peuples, à son mépris, en exerçant plus de pression sur les gouvernements à entreprendre davantage de mesures pour la transformation des normes sociales.

Devant cette situation, l’UISM remarque et confirme ce qui suit :

 

Premièrement : l’UISM demande les Nations Unies du respect de la diversité religieuse, et des législations célestes, et des valeurs islamiques dans les accords internationaux vis-à-vis de la femme et de l’enfant.

 

Deuxièmement : l’UISM appelle à une position unifiée, de ces documents, et à répondre aux souhaits de la population, en refusant tout incompatibilité avec la loi islamique, et les religions célestes soit dans des documents antérieurs, tels que la convention CIDAW, Beijing et d’autres, soit dans des documents à venir, pour être discuter, signer ou mis en accord, et de ne pas être influencer par la pression exercée par les Nations Unies, à travers la déclaration politique mis en discussion lors de la réunion 59 de la commission de la condition de la femme, en leur demandant également à ne pas y toucher les réserves qui ont été développés lors de la signature des conventions internationales sur les femmes et les enfants.

 

Troisièmement : l’Union appelle les participants des gouvernements de délégations, à la réserve de ces documents, et de ne pas s’impliquer dans la signature de plusieurs d’entre eux, et demande de ne pas y signer aucun protocole annexer à ces conventions sans référence aux grands scientifiques et aux corps scientifiques, de haut niveau en préservant l’identité du peuple musulman et des gouvernements souverains.

 

Quatrièmement : l’Union porte aux régimes et institutions musulmanes qui participent à la signature de ces documents, et leur accorde responsabilité légitime devant 

Dieu et les peuples.

 

Les autorités signant cette déclaration:

-L’Union Internationale des Savants Musulmans

-L’Association des savants Sunnites

-Corps des Savants Palestiniens à l’étranger

-Bloc des Savants contre le Coup

-Bloc des Savants de l’Azhar

-Syndicat Egyptien des Prédicateurs

-Le Conseil Européen de la Fatwa et de la recherche

-Conseil fédéral Australien des Imams

-Association des Savants Algériens

-Le Conseil suprême des Imams et des affaires islamiques au Brésil

-Assemblée Européenne des Imams et des conseillers

-L’Union Islamique au Danemark

-Conseil consultatif du Bloc des dotations indonésiennes

- Fiqh islamiste académie en Inde

-Association des Savants- Kirla

-Bloc des Savants de l’Iraq

-Institut Supérieur de la Magistrature de la Libre Syrie

-Fondation Jérusalem Internationale

-Groupe de la justice et de la bienfaisance

-Association des Savants de Népal

-Association des savants de Palestine

-Association des Savants de Somalie

-Association des savants en Syrie

-Association Tunisienne des Sciences de la Charia’a

-Conseil juridique islamiste en Afrique Du Sud

-Institut Supérieur islamiste au Sénégal

- Association rahmatan Lelalamin

- Association Européen des Imames et des conseillers

-Union des juristes musulmans au Liban

-Conférence islamique de la Charia’a et de la loi au Liban

- Union des Institutions islamiques au Liban

-Association Islamique du salut au Liban

-Association des Savants musulmans au Liban

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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