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Al Sallabi : la réconciliation et l’urne sont la porte de la stabilité en Libye

 

 

Membre du conseil d’administration de l’UISM, l’écrivain et le chercheur libyen dans les affaires de pensée islamique, a mentionné que plusieurs personnalités politiques, tribales libyens rencontrés à Tunis récemment dans le cadre de la recherche de fournir une réussite de la troisième conférence pour la réconciliation nationale en Libye.

Al Sallabi a confirmé à travers des communiqués spéciaux à « Quds press » que « les efforts déployés par un groupe de chefs tribunaux, religieux et politiques Libyens, pour arrêter le sang Libyen, et réaliser la réconciliation nationale autour de laquelle s’est formée un nombre important de différents spectres du peuple Libyen, et elle se prépare à tenir une troisième conférence de réconciliation dans la capitale Tripoli, dans de bonnes conditions »

Al Sallabi a souligné que les réunions en Tunisie, dont il a mentionné que les autorités soutiennent tous les efforts de réconciliation en Libye, ont visé principalement à compléter ce que les participants ont commencé dans les réunions avant et dans les conférences précédentes à l’intérieur et à l’extérieur des pays, et de discuter des moyens d’accomplir la réconciliation, dont il a mentionné que « ça va commencer effectivement par le biais des élections par lesquelles le peuple choisis son parlement, son gouvernement et son président. »

Et que si « le gouvernement de réconciliation nationale » dirigé par Fayez Al Sarraj pour jouer un rôle de support de ces efforts, Al Sallabi a confirmé : « ceci est un effort ouvert sur les deux bienveillants du peuple Libyen et les aimables des amis de la Libye de l’extérieur, notre objectif est d’arrêter le saignement du sang du peuple Libyen et de parvenir à une réconciliation juste et exhaustive, et tous ceux qui en contribuent, nous en félicitons. » 

Al Sallabi a renouvelé sa confiance en disant qu’il n’y aura « pas d’autre choix en face des Libyens s’ils veulent la sécurité et la stabilité qu’à travers la réconciliation juste et globale et le recours aux urnes afin d’atteindre un parlement fort et un gouvernement puissant, et un président robuste, et même des agences de sécurité qui pourront prendre soin de la mise en œuvre des lois et la protection de la population » d’après lui.

Il nous rappelle que « le gouvernement d’Unité Nationale » soutenue par la communauté internationale, qui est établie depuis la fin de Mars dernier, mais n’a pas toujours reçu la confiance du parlement à Tobrouk.

Malgré le grand soutien international du gouvernement de réconciliation nationale, dirigé par Fayez Al Sarraj, et la volonté de la communauté internationale à le soutenir, le gouvernement intérimaire dirigé par Abdullah Al Thani a toujours la confiance du parlement, et il est toujours le commandant de ce qu’on appelle « L’opération de la dignité » le général Khalifa Haftar, ne reconnaissant jamais le gouvernement d’Al Sarraj, comme l’a signalé le chef d’état-major General Abdul Razzak Nazouri en Tripoli.

 


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