Les étudiants américains appellent à l'arrêt des crimes d'Israël à Gaza
-Les étudiants de diverses universités américaines ont manifesté leur opposition à la poursuite des crimes d'Israël à Gaza en organisant des campagnes massives, et appelé à une réaction immédiate et efficace des États-Unis pour mettre fin à ces crimes.
Selon Al-Khaleej, du Los Angeles à New York, en passant par Austin, Boston, Chicago et Atlanta, le mouvement étudiant en faveur de la Palestine aux États-Unis est en expansion.
Depuis quelques jours, des manifestations ont lieu dans des universités de renommée internationale telles que Harvard, Yale, Columbia et Princeton. Les autorités menacent d'envoyer des forces de sécurité pour les disperser.
Ces scènes se répètent depuis quelques jours dans différentes régions des États-Unis ; les étudiants dressent des tentes sur les campus de leurs universités pour condamner le soutien militaire des États-Unis à Israël et les crimes de ce régime dans la bande de Gaza. Ces manifestations sont généralement confrontées à des attaques de la police anti-émeute.
Les étudiants protestataires demandent également l'arrêt des investissements des universités américaines dans des entreprises qui profitent de la vente d'armes à l'armée israélienne ou de la poursuite de la guerre à Gaza.
Accusations d'antisémitisme
Les institutions américaines et les membres du Congrès, dirigés par Mike Johnson, président de la Chambre des représentants, ont accusé les participants aux manifestations d'antisémitisme. D'autre part, ils ont demandé à Israël de cesser le massacre des civils palestiniens à Gaza.
Selon ce que les agences de presse internationales ont rapporté et ce que les clips vidéo sur les réseaux sociaux montrent, les forces de sécurité américaines ont également attaqué plusieurs campus universitaires, attaquant des centaines d'étudiants, de chercheurs et de membres du corps professoral et arrêtant des dizaines d'entre eux.
Les étudiants juifs de l'Université de Columbia ont rejeté l'affirmation selon laquelle les manifestations de soutien à la Palestine étaient perçues comme une menace antisémite et ont souligné que les autorités de cette université ne disaient pas la vérité.